25 juillet 2010
A la libération ...
Une scène bien triste :
Le chef de camp habitait sur place avec sa femme. Il y avait un dépôt de nourriture de l’armée dans un petit bois.
A la fin de la guerre, des prisonniers russes y sont allés et ont décidé de se servir. Le chef de camp n’a pu leur faire entendre raison et a utilisé son arme contre un prisonnier. Un des russes a été tué.
Ses compagnons se sont vengés et ont tellement maltraité ce gardien que son visage n’avait plus rien d’humain et les coups infligés l’avaient « disloqué ». Pour abréger ses souffrances, il a été achevé d’une balle dans la tête.
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